Organisé sur une interface terre mer de quatre kilomètres, le village martiniquais du Prêcheur est largement bouleversé par les conséquences du réchauffement climatique. Tout d’abord par l’élévation du niveau de la mer, ensuite par les houles et les tempêtes tropicales de plus en plus fréquentes et enfin par le phénomène de lahar, coulée sédimentaire provoquée par l'assèchement de la montagne Pelée. Le projet s’attache à déplacer le village et sa structure sociale afin de permettre aux habitants de surmonter cette épreuve et ne pas abandonner leur commune. Ainsi le développement d’un plan de masse vernaculaire pouvant s’adapter aux nouvelles conditions climatiques et topographiques des mornes est le fondement du projet. L’écoulement des eaux de pluie, les espaces publics, la reconstruction par le réemploi et les systèmes constructifs sont des éléments développés par l’équipe pluridisciplinaire.
Organisé sur une interface terre mer de quatre kilomètres, le village martiniquais du Prêcheur est largement bouleversé par les conséquences du réchauffement climatique. Tout d’abord par l’élévation du niveau de la mer, ensuite par les houles et les tempêtes tropicales de plus en plus fréquentes et enfin par le phénomène de lahar, coulée sédimentaire provoquée par l'assèchement de la montagne Pelée. Le projet s’attache à déplacer le village et sa structure sociale afin de permettre aux habitants de surmonter cette épreuve et ne pas abandonner leur commune. Ainsi le développement d’un plan de masse vernaculaire pouvant s’adapter aux nouvelles conditions climatiques et topographiques des mornes est le fondement du projet. L’écoulement des eaux de pluie, les espaces publics, la reconstruction par le réemploi et les systèmes constructifs sont des éléments développés par l’équipe pluridisciplinaire.